lundi 4 septembre 2017

Les rebelles de RED-Tabara capturés à Rurambo seraient transférés à Kinshasa


Les combattants du mouvement RED-Tabara, qui, ont été capturés par l'armée congolaise dans la localité de Rurambo dans la province du Sud-Kivu seraient conduits dans une prison à Kinshasa.
Certaines sources affirment qu'il s'agit d'une trentaine d'hommes.

Certaines sources en République Démocratique du Congo indiquent qu'une trentaine de rebelles burundais ont été transférés à Kinshasa après avoir passé quelques jours dans la ville de Bukavu dans la province du Sud-Kivu.

Ces rebelles burundais ont été capturés le 22 août 2017 par les Forces Armées

mercredi 23 août 2017

Le Chef d'Etat-major de RED-Tabara capturé sans résistance en RDC

Officier congolais Photo actualite.cd

La surprise a été de taille pour les rebelles du mouvement RED-Tabara (Résistance pour un Etat de Droit) vers la fin de la journée de ce mardi. 
Une dizaine d'hommes de ce mouvement se sont retrouvés face aux FARDC en sureffectif dans les hauts plateaux du village de Rurambo à l'Est de la République Démocratique du Congo. 
Le Général-Major Melchiade BIREMBA

jeudi 17 novembre 2016

Burundi: Pourquoi les pourparlers inter-burundais ne sont pas possibles sur le sol burundais.

Tatien SIBOMANA (Porte-Parole du parti UPRONA indépendant



        Plusieurs raisons ont été évoquées par un cadre du parti UPRONA indépendant au lendemain d’une polémique provoquée par les propos de Jamal Benomar qui a laissé croire que ce dialogue politique pouvait se tenir au Burundi.

        Premièrement, selon Tatien Sibomana, la sécurité n’est pas assurée pour les politiques et les activistes de la société civile qui devraient participer à un dialogue inclusif au Burundi. 

Et si un dialogue véritable et inclusif devait se tenir au Burundi, poursuit Tatien Sibomana, il faudrait d’abord que les participants soient en sécurité et cela veut dire qu’il doit y avoir les forces neutres sur terrain. ‘’Nous allons revenir donc à la case de la MAPROBU’’, a-t-il précisé.

        Deuxième conditionnalité, explique ce cadre de l’UPRONA non reconnu par le pouvoir de Bujumbura, c’est que les mandats d’arrêt qui pèsent sur tous ces gens qui ont pris le chemin de l’exil soient levés.  Il explique que tous ces politiques, membres de la société civile et journalistes qui ont fui l'insécurité ne peuvent pas envisager de rentrer au Burundi sans que ces mandats d'arrêt ne soient annulés.

        Troisième conditionnalité, ‘’nous devons nous entendre sur la médiation’’, indique Tatien Sibomana en ajoutant que ‘’il est hors de question que la médiation soit assurée par la fameuse CNDI du parti CNDD-FDD.’’ parce que, dit-il, 

        ‘’ça engendre d’ailleurs la conditionnalité numéro quatre, nous devons nous entendre sur quoi discuter’’. Selon Tatien Sibomana, tout le monde sait que la crise actuelle a été causée par ces gens qui ont violé l’Accord d’Arusha de Paix et de Réconciliation et la Constitution qui en est issue. Pour lui donc, cette Commission Nationale de Dialogue Inter-burundais, qui prône la révision voire même l’abrogation pure et simple de l’Accord d’Arusha, n’est pas capable de diriger les pourparlers. 

        Enfin, ce cadre de l’UPRONA indépendant signale qu’il faudrait s’entendre sur la période que devrait durer ce dialogue. Selon lui, le dialogue véritable doit se clôturer le plus vite possible pour passer à la phase des institutions légitimes pour préparer par la suite les institutions globales issues des élections crédibles. 

        Dans cette analyse qu’il a faite sur la radio Inzamba, ce cadre de l’UPRONA de l’opposition Tatien Sibomana conclut qu’étant donné la situation actuelle du pays un dialogue crédible et inclusif est impossible sur le sol burundais.      

samedi 13 août 2016

Burundi: Le Barreau de Génève crie aux Représailles Institutionnalisées envers 4 Avocats burundais.



Me Armel Niyongere (Président de l'ACAT-Burundi)

C’est par ces mots que l’Ordre des Avocats de Génève (ODAGE) tente de dissuader le gouvernement du Burundi de la démarche de radier 4 Avocats du barreau de Bujumbura.

A travers une correspondance adressée au procureur général, l’ODAGE exhorte les autorités burundaises à retirer immédiatement la

dimanche 17 avril 2016

Burundi: Manifestation Préventive des Anti-Troisième Mandat...le 17 Avril comme aujourd'hui.




        Plus d’un millier de partisans de l’opposition manifestent en petits groupes en plein centre-ville Bujumbura. 
La police y est également très présente dans cette journée du 17 Avril 2015. 
Les activités sont paralysées au centre-ville principalement aux alentours de l’ancien marché central de Bujumbura.

         Les grandes figures de l’opposition comme le député Jean Minani du FRODEBU Nyakuri, Chauvineau Mugwengezo de l’UPD-Zigamibanga, le député Issa Ngendakumana et Léonce Ngendakumana du FRODEBU participent à la manifestation. 
C’est d’ailleurs l’Alliance de l’opposition ADC-Ikibiri qui a lancé un appel de la toute première manifestation effective contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza.Les frondeurs du CNDD-FDD ont également appelé la population à descendre dans les rues pour protester contre un mandat présidentiel de trop.

A l’aide des gaz lacrymogènes et des canaux à eau, la police disperse les